Commentaire de Samuel
sur Les milliardaires vous remercient II
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Merci Lisa pour cet article raffraichissant qui énonce avec simplicité et poésie la merde dans laquelle on se trouve.
Noyé dans la jungle de béton francilienne, les jours et les mois se font longs sans l’ombre d’un vieux chêne sous lequel accompagner une belle femme bien disposée.
Á force de courir derrière des bouts de papiers pleins de zéros, entouré d’une forêt de blocs de ciment hypocritement rebaptisée de noms d’arbres, on en oublie parfois le sens premier de la vie et le contact harmonieusement chaleureux avec la terre, la pierre et le bois qui, eux au moins, ne nous trahirons jamais, et nous souffleront toujours de rester fermes et indomptables contre les ennemis de l’être humain.