Commentaire de L’enfoiré
sur « La cité du mâle » : France Culture a tenté de discréditer l'émission d'Arte


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L'enfoiré L’enfoiré 2 octobre 2010 13:45

Cher JL, (pourquoi pas Jean-Luc)

 J’ai aimé l’image du « séducteur éconduit ».
 Je ne peux vous raconter mon histoire, ici. Elle est écrite, mais prend la taille d’un livre que seul quelques uns ont lue.
 Oui, il faut souffler le chaud et le froid, c’est une question de respect vis-à-vis de soi-même car celui qui est d’humeur égale, serait comme vous le dites un « neuneu »’.
 Ne craignez rien, ce n’est pas vous que je visais.
 Vous savez comme dans la tirade du nez, qui répète « A la fin de l’envoie, je touche ».
 Si l’hôte de ses lieux avait la finesse de Cyranno, je m’en amuserais et je deviendrais fidèle à la lecture de ses billets.
 Ici, je lis en diagonale.
 Je retrouve les mots, comme on dit chez nous, « à la soixante quinze », « pédantesques » et là je relance mes banderilles.
 C’est comme ça. Je ne peux m’en empêcher.

 Merci pour cette chanson, que j’avoue ne faisait pas partie de mon répertoire.
 Il faut dire que Brel a écrit et vécu tellement de chose en une vie pourtant courte.

Une excellente journée à vous
(ici c’est assez maussade. On attend demain, il parait qu’on va retourner au printemps)
 smiley


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