Commentaire de JL
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Francis, agnotologue JL 26 octobre 2010 16:18

« Le mot »fasciste« , mériterait lui aussi un peu plus de précaution dans son utilisation  » ’Alberto)

Oui, en effet.


« À travers les âges, avec leurs manigances, les hommes rusés ont fait de l’argent un outil pour parvenir à leurs vils objectifs.
Avec l’apparition de l’entreprise privée, l’argent utilisé comme moyen de repousser les limites du troc a permis au tricheur d’exploiter l’honnête homme qui, pour se protéger, a fait appel à la protection du gouvernement, mais a vite découvert qu’il faisait face à deux voleurs : le courtier et le pilleur politique qui travaillaient main dans la main contre lui. » (E.C. Reigel, théoricien monétaire et défenseur des consommateurs)





« Cette ignorance et surtout la volonté de la cacher grâce à certains médias dénotent un pourrissement du débat et de l’intelligence, par le fait d’intérêts particuliers souvent liés à l’argent. Des intérêts qui souhaitent que l’ordre économique actuel, qui fonctionne à leur avantage, perdure tel qu’il est. Parmi eux se trouvent en particulier les multinationales qui sont les principales bénéficiaires, avec les milieux boursiers et bancaires, d’un mécanisme économique qui les enrichit, tandis qu’il appauvrit la majorité de la population française mais aussi mondiale.

Question clé : quelle est la liberté véritable des grands médias ? Je parle de leur liberté par rapport au monde de la finance tout autant qu’aux sphères de la politique.

Deuxième question : qui détient de la sorte le pouvoir de décider qu’un expert est ou non autorisé à exprimer un libre commentaire dans la presse ?

Dernière question : pourquoi les causes de la crise telles qu’elles sont présentées aux Français par ces personnalités invitées sont-elles souvent le signe d’une profonde incompréhension de la réalité économique ? S’agit-il seulement de leur part d’ignorance ? C’est possible pour un certain nombre d’entre eux, mais pas pour tous. Ceux qui détiennent ce pouvoir de décision nous laissent le choix entre écouter des ignorants ou des trompeurs. » (Maurice Allais. Prix Nobel d’Economie)


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