Commentaire de morice
sur Viktor Bout et les USA, ou Mickey dans Fantasia (18) : l'Azerbaïdjan, autre clé du problème (et l'héritier de Wella)


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morice morice 16 novembre 2010 07:51

je ne peux mieux dire, Soulmanfred et vous donne rendez-vous ici, car mes deux séries vont bientôt se croiser....


http://www.centpapiers.com/author/morice


déjà un début là..

http://www.centpapiers.com/coke-en-stock-x-cia-« -cocaine-import-agency- »/44888


et là :

http://www.centpapiers.com/coke-en-stock-xi-la-mena-et-apres/45355


et d’autres épisodes pour le démontrer...


la presse se réveille enfin sur les liens entre la CIA et les nazis !

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/les-etats-unis-havre-pour-les-anciens-nazis_936709.html


Le rapport évoque également le cas d’Arthur Rudolph, un scientifique nazi en charge de la gestion de l’usine d’armement de Mittelwerk en Allemagne. L’homme a été accueilli aux Etats-Unis en 1945, avec Wernher von Braun, pour son expertise en matière de construction de fusées, dans le cadre de l’« Operation Paperclip », un programme de recrutement de scientifiques ayant travaillé dans l’Allemagne nazie. 

« Arthur Rudolph a ensuite été recruté par la Nasa. Il est considéré comme le père de la fusée américaine Saturn V », selon le journal. Des notes datant de 1949 montrent comment le ministère de la Justice demandait avec insistance aux services d’immigration de le laisser entrer, « dans l’intérêt de la nation ». 


et c’est kiki en avait parlé ici ?bibi ! le samedi 31 mai 2008 !!! finalement, j’ai deux ans d’avance sur le New-York Times, faut que je change de chevilles là.

les TALL, Ranta, Jacob et autres demeurés peuvent toujours jacter, tiens. Ils l’ont dans l’os. La meut d’extrême droite est obligée de reconnaître pourquoi elle soutient autant les neocons. Car c’est bien la même famille de pensée !


par TALL (IP :xxx.x19.188.124) le 9 mars 2008 à 10H35 

 

Tʼes né en Flandre, morice ? 

Ils ont bien fait de te foutre dehors. 

Les Flamands, cʼest comme les Ricains, ils nʼaiment pas les islamistes et ceux qui 

font leur jeu, volontairement ou non. 

Dommage pour la France quʼelle ait hérité de ça.côté de ça.De la pseudo- 

guéguerre pour gugusses qui sʼy croient. 

50 ans minimum de suprématie technologique et militaire US, vous allez prendre 

dans la poire. 

Autrement dit, ton petit-fils pourra continuer de râler ici contre les ricains sous lʼoeil 

bienveillant du petit-fils de Carlo Revelli. Cʼest pas mimi ça ? 

 


http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/la-fache-cachee-de-la-conquete-de-40467


Le 2 novembre 2005, une grande partie des survivants de l’équipe étaient réunis au Musée de Hunstville, en Alabama, au Space&Rocket Center, pour signer un livre, intitulé sobrement Saturn, la plus grande fusée jamais lancée (en dehors de la N1 Russe de 105 m et 2807 tonnes). L’arme absolue qui avait réussi l’impensable exploit de déposer sur la Lune un être humain. Etaient présents Konrad Dannenberg, Ernst Stuhlinger, Walter Haeussermann, Dieter Grau, Georg Von Tisenhausen, Walter Jacobi, Rudolf Schlidt, Hans Fichtner et Werner Dahm, certains de leurs collègues étant déjà décédés, tels Arthur Rudolph, Bernhard Tessmann, Adolf Thiel, Otto Heinrich Hirschler, Fritz Mueller, Werner Kurt-Otto Rosinski, ou Gerhard Herbert Richard Reisig, ce dernier mort en mars de cette année-là. 


Un homme, parmi les 119 récupérés à la hâte par les américains lors de l’opération PaperClip, Arthur Rudolph, ravive la polémique. Il a été l’adjoint direct de Von Braun, le directeur du projet Saturn de Août 1963 à Mai 1968, et est parti en retraite l’année même où Armstrong mettait le pied sur la Lune. Il s’est installé à San José, en Californie. En septembre 1982, l’OSI (Office of Special Investigation) de l’AIR FORCE lui envoie une lettre lui demandant de s’expliquer sur son rôle exact durant la guerre, notamment à propos des prisonniers de Mittelwek. Ceux qu’on distinguait en uniforme à rayures en train de construire les V2. L’homme s’emporte, et répond par une longue diatribe, où il étale ses convictions raciales demeurées inchangées. Nazi il était, nazi il est resté. Devenu encombrant, l’OSI lui propose en 1984 un marché : celui de renoncer à sa citoyenneté américaine en échange de sa liberté. Il atterrit finalement en Allemagne, où un juge, en 1987 finit par conclure à sa non culpabilité à Mittelwek ! L’homme tentera de revenir aux USA pour fêter en 1989 l’anniversaire d’Apollo XI, mais se fera arrêter au Canada, où il sera ouvertement soutenu par le négationniste Zundel. Il finira ses jours en Allemagne, sans renoncer à ses engagements.


Il n’empêche, comme le montre très bien un superbe reportage de 2002 où apparaît Walter Haeussermann,Von Braun, comme Rudolph et beaucoup d’autres récupérés lors de l’opération PaperClip étaient bien des nazis.



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