Commentaire de Pierre de Vienne
sur Les portes de l'oubli


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Pierre de Vienne Pierre de Vienne 3 février 2011 15:44

Merci pour cette belle contribution, oui le verbe reste, mon beau père, un mois avant sa disparition lisait avec une joie infantile les panneaux lors de nos promenades en voiture, la lecture (opération si complexe) était intacte. Une sorte de poésie situationniste dans un désert. 

 

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