Commentaire de ddacoudre
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ddacoudre ddacoudre 11 mars 2011 22:15

bonjour bénédicte

je t’invite à faire un tour d’horizon dans mes articles, ou sur mon blog (Le blog de ddacoudre .over-blog.com) et tu auras quelques réponses. nous sommes dans une stratégie élaboré depuis la chute du mur de Berlin, il ne s’agit pas d’un processus complotiste, mais de convergences d’intérêts et de conquête impérialiste du marché. et de fait la loi du marché génère comme tout dogme ses structurations, et dans le cadre de ces structuration se développe des stratégies d’acteurs comme celles que tu soulignes.
d’une certaine manière, l’économie échappent aux hommes politiques ainsi que la monnaie, il ne leur reste plus comme dimension sur laquelle ils ont une action directe la sécurité, non comme simple institution chargé de veiller à la sécurité des biens et des personnes, mais comme instrument politique électif, dont les dérives désignent des citoyens comme des ennemies à éliminer, le même processus que le national socialisme en son temps.
partant de là tout ce que peut faire la police ou la justice sera toujours insuffisant, car le crime n’étant que social, nous le construisons à chaque loi dans une escalade qui conduit à l’inquisition, bien au delà de la nécessaire sécurité. nous avons vu comment le citoyen lambda par la sécurité routière est devenu un délinquants voir un criminel, et comment ce mot aussi chargé de sens se banalise pour désigner des actes de toutes natures que l’instrumentalisation politique dans une surenchère électorale pousse à criminaliser pour satisfaire à l’irrationalité émotionnelle entretenu.
il semble que rien ne puisse plus arrêter cette dérive délirante car le politicien qui y oeurvrerait perdrait toute chance d’être élu, au point que le traitement de la violence ne peut plus se faire socialement s’en être taxé de laxisme, et nous en sommes arrivé à parler de présumer coupable et parler comme l’a fait tout dernièrement un préfet que le prévenu dormira en prison.
ainsi s’en nous en rendre compte nous glissons vers des comportements digne d’états totalitaires.
j’ignore ton âge, mais quand j’étais jeune et que nous allions en Espagne franquiste nous savions qu’il ne fallait même pas avoir un accident de voiture sous peine de se retrouver en prison.
cette pratique est arrivé chez nous et nous la trouvons normale alors qu’a mon époque elle qualifiait un état totalitaire.
plus politiquement, tous les responsable savent qu’il n’y aura pas de reprise économique permettant le plein emploi et donc traiter socialement la délinquance, même cela doit aller en s’aggravant compte tenu de l’augmentation de la population des fractures diverses, sociales financières intellectuelles, et que les matière premières ne suffiront pas pour tous, et celles en remplacement ne sont qu’au stade embryonnaires ou expérimental. et durant tout ce temps nous continuerons par la publicité à aiguiser les désirs de tous,
nous avons là un beau cocktail explosif qui devrait nous conduire vers le fascisme ou une guerre. et faute de raison, comme tu l’invoques il faudra cela pour changer les choses, c’est triste. et quand l’on écoute nos hommes politiques ils sont tous sur le créneaux de la croissance, alors que c’est une nouvelle civilisation qui se dessine.

alors il ne faut pas être surpris d’une certaine convergence qui est le produit de modèle théorisé ou de modèle systémique, qui ne trouvent de solution que dans l’escalade, comme quand nous parlons d’une gouvernance mondiale. çà ne fait pas partie des possibilités biologiques du cerveau humain, mais peut être du domaine déterministe de technologie performante que nous utilisons et dont des plus puissantes verront le jour en 2045, car nous aurons modélisé notre cerveau et la machine utilisera toute sa capacité alors que nous nous ne nous servons consciemment que de 10% environ.
notre destin est étrangement lié à la machine et elle va plus vite que nous, et nous ne pouvons pas espérer être capable d’aller aussi vite sans troubles ou névroses.
nous le notons avec l’information, il nous est impossible de suivre toute celle qui est disponible alors l’on s’occupe de l’immédiateté comme tu l’écris, et c’est éphémère, sauf quand cela devient un processus pavlovien par la structure de son traitement, ce qui est le cas en matière de sécurité.
je te mets un lien sur la stratégie de la manipulation des populations
je voulais juste te faire un court commentaire pour ton bon article
cordialement.


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