Commentaire de stepht
sur Crise de l'euro : les peuples saignés, les Etats menacés


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

stepht 7 juin 2011 18:56

Gardez vos oeillères si vous le voulez, mais de grâce, cessez donc de vouloir les infliger aux autres !
Pour la ennième fois, la dette n’est pas le résultat d’un cumul de « vie à crédit », mais le résultat d’un transfert de la valeur produite par la production de la population qui travaille vers les comptes de la population (nettement moins nombreuse) qui prétend prêter, et engrange des intérêts.
Ce transfert n’est pas le résultat d’un coup de baguette magique, mais le résultat d’un ensemble de mesures politiques, sociales, fiscales, d’abord par petites touches discrètes, puis maintenant sans aucune vergogne.
Contraindre les populations laborieuses à combler ce déficit consciencieusement organisé au moyen de ce transfert insidieux, c’est comme essayer de soigner un grand brulé en cautérisant ses plaies au lance-flamme...


Voir ce commentaire dans son contexte