Commentaire de titi
sur Devoir de mémoire vis-à-vis de ceux qui meurent pour la France
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@easy
Je suis assez d’accord avec vous.
« On ne doit pas appeler à »avoir un mot pour la victime« alors qu’il suffit qu’on le dise soi-même ce mot ; alors qu’il suffit de le combler soi-même ce vide qui nous choque »
J’applique moi même ce principe aux victimes sociales des guerres économiques.
et si quelqu’un veut plus de solidarité, qu’il paie et ne m’appelle pas moi à la rescousse par mes impots : je m’en lave les mains.