Commentaire de Jean-Pierre Llabrés
sur Des religieux, dont le Dalaï-Lama, veulent que l'interdiction du blasphème soit inscrite parmi les droits de l'Homme
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L’existence d’un « dieu », quel qu’il soit, demeurant improuvée, quel intérêt y a-t-il à lire et comprendre des textes contenant, supposément, les paroles d’une telle entité, à l’existence improuvée, qui auraient été révélées à un individu quelconque (qui pourrait même n’avoir jamais existé) ?
Cette réflexion vaut pour les écrits supposément « sacrés » des bouddhistes, des juifs, des chrétiens et des musulmans ainsi que pour tout ce qui se réclame d’une « divinité » à l’existence improuvée.
L’incroyance et la dérision sont des droits absolus et inviolables vis-à-vis de tout ce fatras et ce verbiage découlant, dégoulinant, d’un postulat (principe premier d’une démonstration, admis comme un fait reconnu et indiscutable, mais qui est indémontrable) irrationnel.
Bien évidemment, cette incroyance et cette dérision ne sauraient constituer un « blasphème » ou une « hérésie » puisque provenant de personnes entièrement étrangères à ces billevesées, stupidités, inepties, et cætera ! ...