Commentaire de Paul Villach
sur La version de DSK : l'hypothèse d'une machination envisagée


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Paul Villach Paul Villach 20 septembre 2011 17:13

@ Walter

Décidément, il est impossible de garder la tête froide devant une affaire qui aura tout de même réussi
1- à chasser un directeur du FMI de son poste
2- et empêcher un candidat favori de se présenter à l’élection présidentielle française.

Ce n’est pas rien !
La seule chose qui m’intéresse est de savoir si cette double éviction est
1- le fait du hasard,
2- la faute de l’intéressé lui-même
3- ou le résultat d’une machination.

N’est-il pas capital de le savoir ? En d’autres termes, le combat politique est-il désormais aux mains de mafieux qui décident des choix des citoyens en éliminant préalablement des hommes sinon physiquement comme on l’a vu dans les affaires Kennedy aux USA, du moins moralement ?

Je tiens à rappeler que DSK n’était pas mon candidat : qu’on se reporte aux articles que j’ai écrits sur lui avant l’affaire. Mais un démocrate ne peut accepter que le combat politique soit faussé par des machinations.

Est-il si insupportable d’entendre pour la première fois depuis quatre mois, la version de DSK, seul objet de mon article ?
Intoxiqués par quatre mois d’informations unilatérales venues de l’accusation, certains se prétendent plus perspicaces que l’appareil judiciaire américain qui a conclu à l’impossibilité d’établir la réalité d’une agression sexuelle. Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, en se fiant sans doute au proverbe imbécile « Il n’y a pas de fumée sans feu » !

Quant à imaginer la possibilité d’une machination, il n’en est pas question. Et pourtant, Mme Diallo est-elle la femme décrite complaisamment dans les médias au début de l’affaire ? Paul Villach


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