Commentaire de Jason
sur Bouc émissaire : la démocratie envoyée au désert
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Le grand paradoxe dans tout ça, c’est que ça marche. Nos gouvernements reposent sur des impostures qui durent.
On s’époumonne, on vitupère, on peste, mais la musique continue, car le pouvoir reste insaisissable. C’est le marché, le système, les autres, la crise, le hasard quoi. Il n’ya a que quand il s’agit de passer à la caisse que les fantômes sortent des murs.