Commentaire de John_John
sur Le seul impôt équitable


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John_John 29 janvier 2012 16:37

« Votre vision du monde est aussi idéologique, ça s’appelle le néolibéralisme et vous cachez derrière le mot creux de liberté. » 

—> Le « néolibéralisme » est un terme péjoratif uniquement utilisé par des aigris collectivistes qui ne vivent que dans la critique, le ressentiment et la désinformation ; aucun économiste ne s’est volontairement qualifié de « néolibéral ». Le fait que vous employiez ce terme vous caractérise immédiatement comme ce que vous êtes : un jaloux de plus qui ne supporte vraisemblablement pas le libre-arbitre (et surement le succès) de certains individus. 

« Désolé mon vieux mais la véritable liberté est proportionnelle au patrimoine et aux revenus. »

—> Ça vous ferait bien plaisir, mais c’est parfaitement faux. Le prisonnier nourri blanchi logé serait plus libre que l’entrepreneur sans le sou ? Laissez moi rire. De même de nombreux riches se sentent enfermés dans leurs conditions alors que de nombreux pauvres se sentent très libres justement parce qu’ils n’ont rien à perdre. Là encore la subjectivité entre en jeu, et votre pathétique tentative de redéfinir la notion de liberté selon votre prisme inconsciemment marxiste suffit à dé-crédibiliser totalement vos propos. 

Je reconnais volontiers que le manque de moyens économique peut limiter les capabilités des individus (à différencier de la liberté bien entendu), ce qui est tout à fait déplorable ; mais il faut bien évidemment remarquer que c’est avant tout l’Etat qui détruit les incitations à s’en sortir par soi-même, en favorisant l’assistant par pur clientélisme électoraliste. Je suis entrepreneur, et je sais de quoi je parle : la pauvreté, c’est mauvais pour le business. J’ai besoin de clients qui ont des moyens, pas de miséreux, et j’ai besoin de collaborateurs productifs (donc bien payés), pas de salariés qui viennent au boulot à reculons. Seul le gauchisme a besoin des pauvres : c’est son réservoir de voix. Sans pauvres, plus personne pour gober les âneries populistes des jaloux des riches. 


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