Commentaire de bladam
sur CPE : un combat incertain


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bladam (---.---.98.88) 18 mars 2006 23:43

« article ne montre pas le caractère violent d’un passage en force d’un gouvernement agonisant dans le fin de règne d’un président où le premier mandat à été sauvé par la cohabitation et où le second mandat à plongé le pays dans le chaos. »

Il ne montre pas non plus que, grace aux manifestation l’opposition se refait une santé. Leurs combats internes sont en veille. Et mêmes ils ont des idées. Qu’ils offrent au peuple et mettent sur la place publique.

Il ne montre pas, non plus, que Bernard Thibaut peut montrer qu’il est un dur, qu’il peut encore mobiliser des gens. Le tout à 1 mois des élections internes de la CGT.

C’et vrai. Cet article ne dit pas tout.

Il ne dit pas que l’article de loi sur le CPE est passé par un vote, légal, à l’assemblée nationale. Il ne dit pas que l’opposition à joué la montre sur le reste de la loi (égalité des chances) en proposant des amendements par tonnes pour gagner du temps afin d’organiser les manifestations.

« Oui hier, il y avait des personnelles d’université dans la rue et alors nous vivons la formation des jeunes tous les jours. On se bat pour leur trouvé des stages correctes dans le cadre de leurs études.Alors oui vu que je forme des jeunes j’ai mon mot à dire sur ce contrat. »

Cet article ne dit pas que les jeunes se sentent soutenu par le corps enseignant. Que ce corps devrait se mettre en réserve car ce sont, quoi qu’on en dise, ceux qui enseignent, qui savent et qui guident.

« oui le CPE rique de détruire tout ce que nos parents ont consruit depuis 50 ans, oui C un retour en arrière de 50 ans. »

Oui, il y a un risque. Il y a aussi le risque de ne rien faire. Ce n’est pas de l’idéologie mais de la démographie. Si on veut conserver le niveau de vie, acquis durant 50 ans, il faut plus de richesse. L’argent ne tombe pas du ciel. Le « plus » de richesse acquis rapidement se fait donc au détriment d’autres, plus pauvres. En france ou alors à l’étranger.


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