Commentaire de Jaï
sur Les causes de la délinquance, lettre d'une éducatrice à un éducateur


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Jaï (---.---.124.227) 23 janvier 2007 17:15

J’ai une amie éducatrice qui travaille dans les fameux centres fermés (anciennes maison de corection) dont on a beaucoup parlé, et qui concernent les délinquants les plus dangeureux.

Or pendant les émeutes dans une certaine ville du Sud de la France, qui on dévasté le centre ville et où on a dû évacuer 4000 personnes menaçées de mort, il se trouve que les résidents de ce centre on fait tous le mur pour aller en découdre avec les forces de l’ordres. Ils en ont récupéré une partie à l’hopital avec blessures diverses.

On peut toujours analyser la délinquance des jeunes et de ce qu’elle a d’anarchique, comment la traiter et la solutioner.

Cependant il faut également constater en France le dévellopement d’un formidable « lumpen-prolétariat », qui plus est récupéré en forme de mode, largement diffusé par les certaines chaines de télévision, a travers la musique et les codes vestimentaires.

Ainsi on en abreuve largement notre jeunesse de cette sous classe sociale qui devient largement le point de référence et d’indentification des adolescents. Pas seulement dans les classes sociales défavorisé, comme des parents pendant 15 ans s’échinent à élever, éducer leur enfants, et au moment de la puberté tout vole en éclat, réduit à néant.

J’ai grandi en région parisienne, dans des cités, je connais très bien les délinquents, et je rencontrais tout les jours les différents éducateurs qui travaillent dans les quartiers. Alors qu’il y avait déjà des taux de délinquence élevés, j’avais alors 20 ans lorsque j’ai vu arrivé cette sous-culture, je me souviens très bien m’être dit « tout est foutu, ça va dégénérer dans tout les sens », et c’est ce qu’il s’est passé.

On véhicule l’apologie de la criminalité, des commerces ilicites, de l’argent facile, le matchisme, le faste des gangs, quand on ne tient pas des propos ostentatoirement racistes, c’est cela que Jack Lang qualifie lui-même d’« Art », ou qu’un Olivier Besançenot s’afiche lui sur des ablums de soi disants musiciens tenant des propos que l’on peut qualifier d’incitation à la rebélion et à la guerre civile et étnique, on ose en plus se comparer à Brassens.

De plus en zone ZEP, l’éducation nationale ne peux que fournir les bases les plus élémentaire de la lecture, permetant de déchiffrer un texte qu’à 40% des scolarisés. D’ailleur des journalistes anglais découvrant les banlieues considèrent que l’on y parle une sorte de « créole », mais même le créole est beaucoup plus riche.

Donc ce système difuse dans la société des gens avec des caractèristiques plus proche des homme pré-antique que d’un homme du 21 ème siècle même de condition sociale très modestes.

L’expèrience d’Hartur Mage, est l’exemple type de comment on gère un problème que l’on refuse de voir. Les acteurs se contentent de maintenir à flot leur structure et de protéger leur emploi.

En fait lorsque la directrice de l’établissement dit : « vous n’avez pas bien compris votre travail » il faut comprendre « surtout pas d’éducatif ».

Je vais peut-être en choquer certains, mais je tiens à préciser que c’est du premier degré, le terme qui décrit le mieux certains centres éducatifs fermés ou pas, ce sont des « Zoo », à la seule différence qu’ils ne sont ouvert au publique.


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