Dans le débat télévisé qui l’avait opposé à Ségolène Royal en 2007, Nicolas Sarkozy aurait avalé une sacrée dose de Lexomyl pour encaisser les coups de sa rivale, sans broncher. Normal, il était favori et avait intérêt à ne pas prendre des risques inutiles. 

Cette fois-ci, la situation est inversée : En retard et mené 3-0 à la mi-temps, l’éternel capricieux éprouve un besoin impérieux de cogner pour « démolir » son adversaire et gagner par KO. Visiblement fatigué, le petit coq ne s’interdirait pas quelques des comprimés à la testostérone pour le combat ultime qui l’attend. 

Mais finalement, pourquoi ce pressing de dernière minute pour convaincre les Français ?  Et les cinq années passées à l’Elysée, c’était pourquoi au juste ?

Pour s’éclater avec ses potes Fouquet’s et au Crillon, peut-être ?