Commentaire de ddacoudre
sur L'Individu, l'Etat & la Décroissance - Chapitre 4 : le leurre de la simplicité volontaire


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ddacoudre ddacoudre 7 mai 2012 23:09

bonjour christian

j’ai bien été intéressé par ton article. globalement je partage ton analyse, nous consommerons tous jusqu’au dernier gramme, les civilisations ne se sont pas succédées par clairvoyance de leur avenir. ce siècle connaitra la plus grande migration de l’histoire humaine du au réchauffement climatique, et le choix de la décroissance ne se déclinera qu’en fonction de la pénurie des ressources minières.
l’augmentation de la population imposera de renoncer aux productions de viande de consommation pour l’humanité, et personne n’arrivera à imposer cela, seule la dégradation de notre environnement y conduira. c’est toujours comme cela que ce sont réalisé les grands changement.
nous pensons détenir le libre arbitre, mais ce n’est qu’une ironie de nos insuffisances biologiques, une ironie qui nous permet et autorise l’espérance.
la biologie de nos comportements qui nous conduit à toujours désirer la rareté de ce que possède l’autre, nous a entrainé dans le progrès, dont des dangers qu’il représente peut engendrer des innovations. jean marie albertini considérait que tant que les hommes passeraient leur temps à produire de la rareté, ils éviteraient de retourner leur violence contre eux mêmes.
or  nous avons définie comme paradigme du dominant dominé des dominants systémiques qui fondent nos sociétés et nos comportements, ils ne sont que l’expression de notre être, et même quand nous les contraignons, comme la démocratie ils reproduisent toujours le paradigme initial, qui s’achève toujours dans un combat ou un changement de civilisation.
pour avoir siégé dans le comité paritaire national de l’emploi, j’ai vu se mettre en place la régression faisant suite à la fin des trente glorieuses et s’y substituer les transferts d’activités vers les nouvelles technologies qui ont détruit plus d’emplois que ce qu’elles en ont créer ce qui a contraint la société à entrer dans le jetable le consumérisme au delà des nécessités de l’évolution technologiques et du bénéfice qu’il a été possible et qu’il est possible d’en retiré par l’hédonisme.
donc le souci est dans un monde ou la rareté va accroitre les tensions les pollutions les migrations à quoi pourrions nous occuper les humains pour qu’ils disposent d’une course à la rareté, pour s’évaluer disposer de l’estime de soi préparer l’avenir en disposant d’une capacité d’innovation, et un contrôle interne de la violence, et d’où en découlerait de fait une sélection naturelle d’une décroissance induite.
j’ai réalisé un essai qui s’intitule rémunérer les hommes pour apprendra car notre cerveau c’est la seule source biologique « éternelle »,, toujours vierge à chaque génération, dont nous disposons, à laquelle nous devons nos progrès et nos malheurs. il nous appartient d’en faire une source de richesse directe par son développement de l’enseignement des savoirs ,et qui compensera le développement de la rareté en dirigeant les hommes vers une autre, dont l’on ne sait ce qu’il en émergera pour faire face au danger qui sont devant nous et qui sont inéluctables.
l’autre paradigme à changer et celui de la comptabilité c’est lui qui quantifie notre activité économique et conduit à de véritable absurdités qui consiste à croire que l’on ne peut pas faire quelque chose parce que nous ne disposons pas du moyen d’échange, il fait partie de ces dominants systémiques issus de notre histoire humaine il n’est qu’un autre paradigme du dominant dominé.
si bien que quel que soit l’idéal politique, lorsque celui-ci remplie le verre comptable, l’idéal en prend toujours la forme qu’il soit blanc ou rouge,

j’ai le résumé sur mon blog si cela t’intéresse.

http://ddacoudre.over-blog.com/pages/remunerer-les-hommes-pour-apprendre-7538257.html

cordialement.


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