Commentaire de Ariane Walter
sur Les perversions de Saturne
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Merci Gabriel, pour ce joli texte, plein de sensibilité. Un plaisir de le lire.
je suis moins sévère que toi quant au constat final.
je suis de l’avis de Montaigne qui a écrit sur la vieillesse de merveilleuses pages. C’est un moment très heureux de la vie. Celui des plus grands pouvoirs et de la plus grande liberté.
Oui, le corps est plus fragile donc il faut être encore plus rigoureux et ne pas l’abîmer.
Mais la pensée, elle, a sa pleine agilité.
Et la sensibilité est plus grande.