Commentaire de milla
sur Quartiers difficiles : le féminisme en question


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milla (---.---.15.224) 1er février 2007 00:11

J’aimerais savoir ce qu’est ce cliché que vous dressez en parlant à la place des « gens » concernés.

Vous voulez des exemples de mariages arrangés ?, alors mon amie « A » de confession catholique essaye en vain de se trouver un mari, à condition qu’il aie un bon salaire, une belle voiture et maison, pas d’enfants etc...

Pour ma part, j’ai 44 ans et suis née en France en 1962 et croyez moi que je n’ai subi ni tournante, n’ai pas attendu qu’on me libère de quoi que ce soit, ne cherche pas de mari et au comble de votre joie je ne pratique aucune religion.

Je vais au théatre, connais par coeur mon clavier azerty, danse la salsa, adore le jazz, j’ai dégusté Sweig, Rousseau, Diderot et j’en passe...

J’ai des amis de toutes confessions, fréquente des hommes de toutes confessions aussi et mange ce que j’ai envie de manger, je bois ce que j’ai envie de boire, j’adore la mer, j’ajouterai, sans prétention, qu’on me dit séduisante, le tous ça sans me cacher et ma nièce de 20 ans n’ apa s à s’en cacher non plus.

Mieux encore, mes collègues « françaises » de « souche » me demande pourquoi je ne suis pas mariée, PARCEQUE CE N’EST PAS NORMAL ! étonnant non ?

Votre définition de la liberté semble assez limite, me concernant la liberté est dans « l’enfermement de l’esprit » dans des espèces de préjugés ou d’études « comportementalites », comme si votre façon de vivre était un exemple.

Ce qui est bon pour l’un ne l’est peut être pas pour l’autre, parce que nous sommes tous « être unique ».

Alors par pitié, laissez ces clichés à nos AÏEUX, quand à ce mot beurette, ôtez le du lexique français, il fait tâche dans le Robert.

bonne nuit milla smiley


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