Commentaire de Henri Francillon
sur La bande à Boulay


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Henri Francillon Henri Francillon 1er septembre 2012 16:23

Vous avez parfaitement raison PhilVite, mais nous nous trouvons en face de gens qui, hypnotisés par un meneur aussi talentueux que fourbe, sont forcés de nier le réel pour éviter de retomber sur leurs pieds, et admettre avec humilité qu’ils se sont laissé tromper.
Wilhelm Reich a très bien décrit ce comportement dans sa « Psychanalyse de masse du fascisme ».


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