Et alors ?

Si on n’a pas le droit de défendre un génocide (si cela peut vous rassurer, je ne le défends pas, j’argumente au niveau du PRINCIPE), on ne bénéficie pas de la liberté d’expression.

La liberté d’expression n’admet AUCUNE EXCEPTION. Dès lors qu’il existe ne serait-ce qu’une exception, il n’y a plus de liberté d’expression.