Commentaire de ROBERT GIL
sur Traité de stabilité ou la victoire du marché
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Si l’État cessait de mener une politique ultra-volontariste pour saigner les populations afin de servir la dette et rassurer les marchés, les groupes financiers seraient en faillite. L’État n’aurait plus qu’à les nationaliser et (respectons les formes !) pourrait les payer un euro symbolique......
voir :
http://2ccr.unblog.fr/2012/04/18/mettre-au-pas-la-finance/