Commentaire de Abou Antoun
sur Chanson française : de la Grande Guerre aux Années folles
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Bravo et merci Fergus pour cette splendide évocation faisant suite à la précédente. J’ai lu avec beaucoup d’intérêt, à la marge, la partie consacrée aux ’villages disparus’ puisque la famille d’une mienne grand-mère est originaire de Perthes-Les-Hurlus. Les images des destructions sont simplement hallucinantes.
Mais il faut bien vivre et la nature a donné à l’homme des défenses contre l’horreur. On rit on mange on boit, on fait l’amour (quand on le peut) pendant les guerres. Il m’a été donné de constater tout cela quelques décennies plus tard loin d’ici. Notre cher Georges Yang a fait le même constat.