Commentaire de Hervé Hum
sur Le néo-darwinisme s'effrite : les gènes sont-ils un ressort de l'évolution ? Eléments de réponse avec la morphogenèse auto-organisatrice et les forces physiques
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et bien l’univers/multivers ayant tout l’infini cyclique devant lui, joue et rejoue éternellement la scène de tous les futurs possibles concurrentiels, sans se lasser...
...jusqu’à trouver le juste milieu
Bien, mais ce faisant votre scénario implique 2 choses ; la mémoire de tous les cycles et la volonté de trouver ce juste milieu qui conduit au bonheur éternel. Ce qui implique le déterminisme temporel... En d’autres termes, cela invalide le principe d’infini cyclique qui joue et rejoue éternellement la scène de tous les futurs possibles concurrentiels sans se lasser jusqu’à trouver le juste milieu.
Conclusion, vous devez choisir, soit vous restez avec l’idée d’un but à atteindre qu’est le juste milieu mais sans infini cyclique. Soit vous considérez qu’il n’y a aucun but à atteindre pour garder un infini cycliste. Soit enfin vous considérez tout au travers du prisme du sens pour réaliser que votre scénario se passe des multivers et qu’ils n’ont aucun sens.
Reste que mes réflexions ne sont pas prises de têtes, mais sont d’une si grande simplicité que les esprits amoureux du compliqué se refusent à les considérer. Bref, ce qui est prise de tête c’est précisément de ne plus se prendre la tête. Car perso il n’y à rien de plus prise de tête qu’un multivers (un me paraît déjà suffisamment compliqué).
Je ne vois pas plus prise de tête que de dire :
l’univers quantique tel qu’il nous entoure implique forcément symétrie du temps pris comme mouvement de la matière
Et de plus simple d’écrire que « hier est la mémoire d’aujourd’hui et demain sa volonté »
Qui se retrouve dans :
Pour faire du vivant il faut trois conditions
une inconnue ( l’espace=néant)
Une volonté (la conscience=l’Etre)
Une mémoire (le temps= matière)
Mais finalement tout cela n’est qu’un conte métaphysique.