Commentaire de Alinea
sur Chronique d'une jeune doctorante en Lettres sans avenir tracé
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Encore : j’ai du mal à avaler vos huit ou neuf ans sacrifiés... là, je dois dire, ça ne passe pas. Mais « de mon temps », étudier et créer ( en linguistique, toute neuve à l’époque, une thèse n’était pas une compile ni une recherche, mais bien une création) n’étaient pas un sacrifice mais un privilège !