Commentaire de Pierre Régnier
sur Les Femen : Justicières antiques et en toc
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« L’inespoir » qui, me semble-t-il, est déjà chez Camus, peut être considéré, non pas comme sa philosophie mais comme la base de celle-ci. C’est en quelque sorte son « état », et c’est aussi le mien.
Et c’est fondamentalement très différent du désespoir. « L’inespoir » de Camus (peut-être aussi celui de Comte-Sponville) est producteur d’action quand le désespoir est uniquement destructeur.