Commentaire de Dwaabala
sur Quand la presse française dresse le bilan du Venezuela d'Hugo Chávez...
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Les dirigeants qui sont réellement pleurés par tout un peuple sont rares. Ce qui suffit à répondre aux dénigreurs de tout poil, sauf s’ils considèrent que les Vénézuéliens sont aussi conditionnés qu’eux-mêmes par les médias.
Un point que n’aborde peut-être pas l’article :
Il est reproché (par BFM entre autres) à H. Chavez de n’avoir pas su
s’affranchir de la dépendance vénézuélienne à « la manne pétrolière ».
Ici, par contre, si à défaut de pétrole, on avait
des idées (?), le rêve s’est réalisé : il y a longtemps qu’on s’en est
affranchi, des éventuelles idées, ce qui s’exprime dans ses paroles de
notre inénarrable Président de la République :
« Le président défunt exprimait au-delà de son tempérament et de ses orientations que tous ne partageaient pas... une volonté indéniable de lutter pour la justice et le développement. »