Commentaire de Roland Franz
sur Référendum local en Alsace : les non-dits du oui. Par Yvonne Bollmann
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@Antoine Diederick
Je me contenterai de demander l’asile en Bourgogne où j’habite. Ici on m’a accepté et j’y suis parfaitement intégré à tel point que je me sens plus bourguignon qu’alsacien.
Demandez donc à un français « de l’intérieur » s’il est parvenu à s’intégrer en alscace !
Mission impossible dans ce territoire qui met l’ethnicisme et le particularisme au dessus de
l’intérêt général.
Ils sont même arrivé à faire croire la spécificité de l’alsacien comme langue, alors qu’il ne s’agit que d’un patois bas-allemand riche de quelques centaines de mots et inapte à l’abstraction.
Quand je retourne au pays, je m’arrête dans la région d’Orbeys, où quelques irréductibles montagnards s’obstinent encore à parler le français.
Les Alsaciens de la vallée en aval les appellent avec mépris les « Welsch », ce qui veut dire « gaulois » en alsacien. C’est tout dire !