Commentaire de ddacoudre
sur La république des Moulins à vent


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ddacoudre ddacoudre 19 avril 2013 00:10

bonjour vipère

je parle de débats d’idées idéologiques, il existe ce n’est pas le débats ou les débats d’idées pour savoir si l’on rase gratis ou pas, mais pour savoir qu’elle organisation socio économique sera demain compte tenu de toutes les réalisations qui ont eu lieu et de tous les événements qui se sont produits engendra un ensemble de modification qui n’apparaissent qu’une fois les agrégations accomplies, c’est à dire utiliser une faculté dont nous disposons celle de se projeter au delà des sillons qui façonnent notre psychisme et qui nous fera rejeter tout ce qui n’y correspond pas. Les débats d’idées dont tu parles ne sont pas cela c’est effectivement comme tu le dis des machine à occuper notre temps et à brasser du vent exactement comme je le fais sur ce site en ayanbt l’impression d’avoir une quelconque importance par ce que je m’y exprime et que c’est devenu un besoin accessible grâce à la technologie mais dont nous savons que ces limites sont sujettes à la loi du nombre, personne ne peu lire se qu’écriront 7 milliards d’individus. Le débats d’idées est donc autre chose que de discourir dans des cercles conviviaux, c’est comprendre que l’existence n’est pas le fruit du hasard et que même si nous ne pouvons être assuré d’une quelconque vérité nous savons au moins qu’elle procède de la diversité et la diversité n’est pas de discourir sur le même thème en le saucissonnant au coin d’un café ou d’un cercle, mai en apprenant tout ce que l’on ignore pour disposer d’un maximum de chance de réorganiser la pensé et d’y trouver des réalisations qui si dévoilerons toujours au fil de nos intérêts individuel compris ou non dans une solidarité égoïste qui s’impose par notre sédentarité. Cela demande d’avoir conscience que notre existence dépend du désordre ou de l’entropie qui donne un mouvement et la vie, figer cela autour d’une pensé unique, même si l’on en débat sous tous ces angles en tout lieu c’est courir au suicide de notre mode d’existence.
en 1999 j’écrivais ceci :

Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.

Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.

De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des guides. Le reconnaître ne la rend pas irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail comme du « louage de service », donc du marchandisage, je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit d’intérêt.

 

Cela naturellement nécessite une approche plus éducative de ce que j’ai appelé le « collectivisme fractal », ou entreprendre avec les autres.

Aujourd’hui la science nous apprend tous les jours que la vie et l’existence dépend aussi de la collaboration qui s’organise entre les espèces et les systèmes et pas seulement dans une confrontation de dominant dominé à laquelle nous avons réduit notre existence en croyant dur comme fer qu’il ne peut y avoir d’organisité en dehors d’une comptabilisation capitaliste. c’est ce débat d’idées qui est quasiment éteint.
au point que notre ignorance nous fait espérer un ordre mondial dont déjà nos ancêtres que nous prenons souvent pour des ignorants savaient que cela ne conduit qu’à l’apocalypse. je ne dit pas cela parce que je suis un croyant mais parce que j’ai essayer de trouver dans ces écrits sociologiques que d’aucun voient comme religieux l’intelligence qu’avaient nos ancêtres de l’absence de diversité. faute de ces débats nous construiront des tour de Babel, certainement plus solide que celle décrite car elle structure notre psychique mais elles s’écrouleront de la même manière. Nous retrouvons les mêmes constatations dans d’autres cultures telle le bouddhisme où des mentions d’une nécessaire complétude entre l’homme et la nature même chez nos archaïques hommes des cavernes ou cultures tribales. C’est pour cela que j’écris que nous sommes devant un paradoxe celui d’avoir des citoyens instruit pour être de parfaites clès à molette et disposant d’une capacité d’ignorance grandissante au point de croire que ce qui c’est écroulé hier marchera mieux aujourd’hui parce qu’ils ignorent que d’autres l’on essayé avant eux et que de leur effondrement il n’en est resté que des paraboles ou des contes, car ce qui n’a pas changé depuis des millénaire c’est le psychique humain.
Notre société si prodigieuse en créativité est devenu plus fragile.
A la même date j’écrivais ceci :

Imaginons-nous aujourd’hui dans les pays riches, privés d’électricité !

Imaginons la vie des individus sans leurs lunettes !

Imaginons qu’un cataclysme ne laisse que quelques survivants !

Quelques générations plus tard dans ce cas de figure par l’oralité parabolique, les survivants expliqueraient avec des légendes que dans les temps passés de gigantesques temples abritaient la puissance du Dieu Nucléaire, qui donnait aux hommes l’électricité, et peut-être que pour les survivants, l’individualisme égoïste deviendrait l’objet d’un tabou.

Ainsi, sans l’apprentissage, l’enseignement, nous serions toujours à l’aube des temps, même s’il n’a fait, pour une part que remplacer en plus précis (scientisme), les intuitions que les hommes avaient de ce qu’ils étaient, et où ils se trouvaient. Car nos ancêtres ne pouvaient qu’être intelligents, et heureusement qu’ils n’ont pas pu arrêter le développement de l’intelligence parce qu’ils y trouvaient un intérêt. Nous ne pouvons pas en dire de même de nous autres, dans un passé pas si lointain : les autodafés, mais cela fait partie du déroulement de l’histoire.

Demandez-vous seulement, c’est quoi l’Univers, le monde, l’Homme ; ils ne sont que de l’information perçue par nos sens que certains d’entre-nous ont défini et que nous nous transmettons des uns aux autres sans cesse redéfinie. 

C’est pour cela qu’il faut seulement comprendre un questionnement : sans le Savoir, que serions-nous ?

Donc quand je peste contre la médiocrité du débat d’idée et de l’information c’est parce que nous annihilons les capacités d’intelligences dont nous disposons pour comprendre l’évolution de l’existence.

cordialement.
ddacoudre.over-blog.com.


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