Commentaire de Roungalashinga
sur Pourquoi le mariage homosexuel est-il une imposture ?


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Rounga Roungalashinga 7 juin 2013 09:33

Parce que les celtes pratiquaient un culte à la fécondité il faudrait en déduire que la procréation n’était pas au centre de leur conception du mariage ? Quel est le rapport ?


De la mère, on était sûr. Les titres, biens, honneurs et autres se transmettaient donc par la mère. Le père... par défaut, c’était le mari de la mère, et si c’était une erreur, on faisait comme si on ne l’avait pas vu...


Bien sûr, et ça a toujours été comme ça ! Le commentaire que j’ai écrit avant explique pourquoi. Ce n’est toujours pas un argument qui prouve que la procréation n’est pas au coeur du mariage.


 atténue grandement votre vision d’un couple parfait ayant existé de tous temps et en tous lieux.


Je ne vois pas quand j’ai parlé de « couple parfait ». Merci de m’éclairer.


J’ajoute que sous d’autres lattitudes, le mariage prend d’autres formes encore, y compris la polygamie. Ce n’est pas pour m’en faire le promoteur, mais juste pour démentire votre fable d’un modèle universeml du mariage.


Là encore, prière de m’indiquer où j’ai parlé d’un modèle universel du mariage. J’ai parlé d’un invariant, un point commune à toutes les formes de mariage, qui est la procréation.
La polygamie ne fait pas exception, puisqu’elle s’est développée dans des régions et à des époques où le déséquilibre démographique homme/femme était tel qu’il fallait bien recourir à ce moyen pour que tout le monde ait une descendance. C’est donc une preuve de plus que la procréation est le point essentiel du mariage.


Il me semble aussi que les société grècques antiques ne promouvaient pas que les relations hétérosexuelles

Et alors ? Est-ce qu’ils ont pour autant promu le mariage homo ? Non, puisqu’il était bien clair pour eux que le mariage servait à procréer.


je rappelle que la femme, mineure, se mariait pour que la gestion de ses biens passe de son père à son mari, et que la loi exigeait d’elle fidélité et soumission, quand le mari, lui, n’était assujetti à rien de tel.


Aucun rapport, encore une fois. Et j’ajoute que si la gestion des biens passait ainsi au gendre du père, c’était parce qu’il était bien entendu que le couple allait faire des enfants, et que donc la fortune familiale échoierait à la descendance.


Non seulement le mariage a déjà évolué mainte fois, mais la représentation idéalisée que vous en avez n’est finalement que très récente.


Encore une fois, de quelle représentation idéalisée parlez-vous ?


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