« ...la peur fantasmée et savament entretenue de l’étranger. »

 Et ?... Toute peur serait-elle infondée ?

 Je ne vis ni au son des cigales dans dans un petit village ensoleillé, ni dans les zones d’habitations sociales défrancisées, mais en plein Paris dans un bon quartier « bobo » majoritairement blanc. Je sais que des familles d’origine étrangère y sont disséminées et dispatchée de ci de là et au compte-gouttes, au nom sans doute de la « mixité », de la « diversité », pour une meilleure réussite de « l’intégration », voire du rêve brisé de l’assimilation.

 Et le phénomène récent auquel j’assiste et qui prend d’année en année plus d’ampleur c’est que les jeunes de ces familles, quoique éparpillés dans des rues, des immeubles différents, se regroupent dès leur plus jeune âge par ethnie et commencent à prendre le contrôle de nos porches et de nos rues. Ces gens se marginalisent et se ghettoïsent eux-mêmes. Ça traîne la rue à longueur de temps, ça crache, ça crie, ça s’agite, ça vitupère, ça insulte, ça dégrade, ça traficote, ça « nique ta mère », et ça crache de plus belle !, et ça ne veut pas se fondre dans la masse ! Le mélange ne prend pas, il ne prend plus depuis bientôt trente ans.

 Et on se permet de juger de ces rares provinciaux encore à l’abri des allogènes, sous prétexte justement qu’ils ne les subiraient pas déjà ! Je suis de plus en plus écœuré par les naïfs, quant aux idéologues du grand remplacement, n’en parlons même pas...