Commentaire de herbe
sur Les vagues scélérates, ou une faillite de la science
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Soit Robert Biloute, admettons...
.....Plus généralement, la méthode s’impose quand il s’agit, comme l’indique James Lovelock, de rapprocher des sciences qui refusent de le faire spontanément, bien qu’elles traitent toutes du même sujet, Gaïa : géologie, vulcanologie, océanologie, météorologie, biologie et anthropologie.
Il conviendra également d’utiliser MCR dans les domaines qui, suite à telle ou telle pratique particulière (météorologie marine à court terme, par exemple) sont d’ores et déjà abordés par des méthodes véritablement »professionnelles« mais qui sont locales : car cela permettra d’englober les résultats particuliers obtenus, dans un système de connaissances organisé et cohérent aussi vaste qu’on voudra, et d’accomplir cette intégration d’une de manière guidée, normée, consensuelle. »
« .....Serait-il possible de trouver, par cette voie, sinon des solutions au drame actuel, qui hélas nous paraît être irréversible, du moins des perspectives dessinant les contours d’un monde différent, où les acquis cognitifs du monde actuel seraient conservés, intégrés dans un seul tout, optimisés indéfiniment ?
Nous en sommes persuadés. Mais il faudrait que se mettent en place des techniques et des procédures de gouvernance représentant des sauts qualitatifs considérables par rapport à ce qui se pratique aujourd’hui.......
»