Commentaire de Crab2
sur Lorsque la liberté de religion se limite à une peau de chagrin
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Bas de plafond
Je n’aurai jamais pu exercer le métier de journaliste ou de politicien, car avant d’entrer dans le vif d’un sujet, je ne m’imagine pas, un seul instant, ’’ vivre ’’ l’humiliation de devoir m’adresser à un individu avec ’’ l’obligation ’’ de décliner son titre, du genre : « sa sainteté, monseigneur, sire, majesté, mon père, ma sœur et j’en oublie au passage... »
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