le problème de Chomsky, c’est qu’il dit beaucoup de choses, en fait énormément de choses. Dans la quantité, il y a du très bon, du bon, du moins bon et aussi un peu de mauvais.

Et ce que j’observe depuis quelques temps, c’est que les médias qui aiment bien et suivent Chomsky ont une tendance lourde à mettre en avant le plus mauvais de sa production. 

Lorsqu’il livre une brillante analyse percutante et politiquement incorrecte sur telle ou telle chose, on n’en entends jamais parler. Par contre, lorsqu’il va sur une laborieuse réfutation d’une explication alternative sur les événements du 11/09/2001, c’est repris et diffusé partout. 

Donc méfiance : tout ce qui arrive de Chomsky par les canaux presse traditionnel, c’est son plus mauvais.