Commentaire de Fergus
sur 1957 : jour de batteuse
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Salut, Brieli.
Que les chaumes reverdissent ne sert pas à grand-chose, les surfaces en question étant appelées à être labourées durant l’automne.
Effectivement, une part du grain était perdue (et l’est encore avec les moissonneuses-batteuses). Mais pas tant que cela dans les exploitations comme celle que je décris car les volailles se faisaient un plaisir de nettoyer le couderc et même de récupérer les grains non battus plus tard sur la paille des litières. Quant aux graines perdues dans les champs lors des moissons, elles nourrissaient les petits rongeurs, ce qui était perdu pour l’homme, mais aussi les faisans et les perdrix, ce qui pouvait être récupéré par les chasseurs.
Merci pour les liens. J’avoue ne pratiquement rien connaître du maïs, si ce n’est qu’il est aberrant de le cultiver dans les régions pauvres sèches et pauvres en nappes phréatiques. Quant à la Plate-Forme multifonctionnelle, puisse-t-elle venir en aide efficacement aux burkinabés !
Bonne journée.