Commentaire de Fergus
sur 1957 : jour de batteuse
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Bonsoir, Smilodon.
Attacher la queue des vaches avec une ficelle pour éviter d’avoir le visage fouetté par un appendice de surcroît pas toujours propre, j’ai également connu, et même pratiqué lorsqu’il m’est arrivé de traire moi-même.
Intéressant que vous parliez des odeurs car elles restent accessibles, longtemps après. Pas de manière permanente, parfois très fugitives, mais rien n’est plus évocateur du passé que ces réminiscences olfactives.
Quant aux contraintes quotidiennes et à l’absence de confort, cela fait partie du tableau.
Adishatz ! comme dit également mon épouse, originaire de la région d’Arcachon.