Commentaire de baldis30
sur Le débat sur la légitimité de la dette publique arrive en Italie


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baldis30 4 octobre 2013 12:00


merveilleusement démontré !

Mais dans le cas de l’Italie, car il y a un mais de taille qui ce soir pourrait atteindre une dimension gigantesque ..... le vote de confiance au gouvernement LETTA. Les commentaires journalistiques ne retiennent pour l’instant que la pitrerie sinistre ( pagliacciata) de berlusconi , en oubliant un peu qu’il est d’autant plus dangereux qu’il est blessé et qu’aujourd’hui se déroule le vote sur son maintien au Sénat, autre possible blessure. Et médiatiquement il n’est pas mort, même si sa fin politique est inscrite dans le calendrier immédiat ....

Le cas de la France pour l’instant n’est pas éclaboussé par une contrainte morale. Pour l’instant, pour l’instant ..... nous n’avons pas de problèmes, nous n’avons pas de problèmes  smiley  smiley

Le débat italien ne se placera pas sur le même plan que le problème grec , c’est sûr, même si des ressemblances existent : la Grèce et le pouvoir économique religieux, l’Italie et les revenus ecclésisatiques , sauf que dans le cas de l’Italie ils résultent des accords du Latran . Et la puissance industrielle de l’Italie n’a rien à voir avec celle de la Grèce.

La conclusion logique d’un débat italien dans les conditions propres du pays est bien celle qui est logiquement mentionné dans l’article ........ le problème n’est pas là !

 Le problème est de faire comprendre à Bruxelles que l’UE fait fausse route , et cela n’est pas simple ! De plus dans la volonté allemande d’instaurer un euro à deux vitesses ( on a oublié la marche arrière très utile lorsqu’on est dans une impasse) a perdu la Finlande en tant qu’alliée et ne possède plus que les Pays-bas pour cela ..... Et les élections européennes approchent ..
Et la situation politique allemande privée de l’appui des libéraux est ambigüe ....

Le contexte du débat italien n’est plus le même ni de façon interne, ni de façon européenne, que ce qu’il était à l’arrivée de G. LETTA au pouvoir , ou même il y a six mois.

Oublions pour quelques semaines une éventuelle influence du contexte U.S., bien que l’Italie soit fortement liée, militairement parlant aux U.S.A.


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