Commentaire de Alois Frankenberger
sur Comment j'ai survécu au tireur fou de l'ouest parisien
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J’ai contesté son opinion qu’il fallait que les familles aient au maximum un enfant alors qu’on a des exédents agricoles dont on ne sait que faire.
Du coup, menaces de mort de la part d’un de ses disciples !
Qu’est ce que je ne l’ai pas chambré suite à ça !