Commentaire de Bertrand C. Bellaigue
sur Haro sur les journalistes
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A D. Artus
Cher confrère, dans l’ensemble vous avez raison. C’est exactement ce que j’ai écrit dans deux de mes livres publiés récemment ( cf sur google.com chercher Bertrand C. Bellaigue) .
Toutefois vous avez tort de généraliser. Nous sommes actuellement au moins 36 000 journalistes des trois sexes dans la profession. L’énorme mjorité d’entre eux font honnêtement et correctement leur travail.
Il est vrai de dire que notre métier est décrié - souvent injustement. Pourquoi ? C’est simple. Après avor fait rêver ( avec Kessel, Hemingway , Rouletabosse et compagnie ), on a envié tous ces gens qui « vivaient de leurs aventures dans les palais de la république et les hotels internationaux » , puis , comme de coutume, on les a détestés et, pourquoi pas , hais, et maintnant calomniés.. Et l’on voudrait se mettre à leur place et « briller » comme on s’imagine qu’il brillent. .
Mais il est vai qu’une réforme s’impose dans certains esprits et même - sans nommer personne - dans des écoles techniques professionnelles qui ne sont pavenues - le plus souvent - qu’a fabriquer de potentiels rédacteurs et chef et des « clones » socio-politiques. Peu importe qu’on soit de droite ou de gauche puisqu’on a eté dressés a adopter le même comportement à l’égard du pouvoir, quel qu’il soit.
J’oubliais, dans un univers dns lequel les medias sont "normalisés par le grand capital, il n’est jamais sûr de ne pas être viré après voir c vessé de plaire.
C’est pourquoi la règle de l’Associated Press est respectable :
Dans le cadre du métier : Ne jamais acceptet aucune faveur, aucun présent, aucune invitation à déjeuner ou dîner, toujours payer ses frais de deplacemnt et de voyage. Ne jamais être l’invité. Ne jamais copiner avec son interlocuteur. Ne jamais écrire de papiers de complaisance.
Tout cela est aussi valable pour le journalisme classique et que pour celui des « rédacteurs-citoyens »
Bertrand C. Bellaigue