Commentaire de soi même
sur Noïo Hel


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soi même 27 décembre 2013 16:45

@ C’est Nabum, en dehors de la polémique qui est due à votre amalgame, je commence à comprendre votre point de vue.
La question n’est pas Noël, cela est juste un prétexte, la véritable question est votre interrogation sur la pérennité des civilisations !
On pourrait prendre les civilisations comme une métaphore morphologique de la vie humaine.
Il y a une naissance, une adolescence, l’adulte et la vieillesse , la mort.
Si vous regarder l’ensemble de l’histoire du monde, il y a pas une civilisation, il y a une multitude de civilisation qui se sont succéder.
 Elle ont tous une origine, leurs naissances, leur ages d’or et leurs décrépitudes.
C’est la même chose avec la vie vie humaine, on ne peut pas exiger post- mortel imposé sa volonté son impulsion aux autres qui ne son pas de sa fratrie.
C’est la même chose avec les civilisations, elle portent leurs impulsions tant que le temps qui leurs est reparties et licites, le jour de leurs morts( les civilisations ) les impulsions deviennent un souvenir pour ceux qui en reprenne le relais .
C’est à fait le Moyen Age en étant le prolongement de l’Antiquée tardive.

 Tant que l’on à pas la volonté de différencier entre ce qu’est l’histoire des hommes à travers les différentes civilisations et l’impulsion civilisatrice des implustions Spirituel qui rayonna aux siens des civilisations. On entretient une confusion mental de ce qu’est la vrai signification de l’impulsion Spirituel dans Monde .

Je vais prendre une image, elle a valeurs d’image, les différentes divercités desréligions du monde sont l’expression des différentes facettes d’un Diamant.

Leurs finalités sont tous l’expression d’un états de reflet d’une face de consciences différents de la même réalité de la Spiritualité, c’est pour cela dans leurs apparences, elles peuvent êtres contradictoires et en même temps si l’on dépasse les contradiction apparentent complémentaires.

Qu’elle est le message fondamental de la Religion, c’est mettre en pratique par le culte le moyen de se relier à une autre vérité.
 Elle ont tous comme message la sacralisation de la Naissance de la Vie et de la Mort. Leurs buts est bien se se relier à l’Origine de la vie.

Et qu’est le meilleurs moyen de se relier est bien ce qui est le plus difficile notre époque, c’est d’accepter librement de se sacrifier à se but.

En réalité ton article s’attaque à une parenthèse de l’histoire, simplement voir en Noël est une occultation d’une fête Païen du soltice de l’hiver sans vérifié par ailleurs comme le Christanisme et non pas le Catholicisme Romain à évoluer sur la là question, montre une méconaissance pronfonde du véritable message du Christianisme.

Car si vous vous vous basez exclusivement sur le Catholicisme Romain , je ne peu que vous reconnaître que vous avez partiellement raison.

Si vous vous basez sur sur le Message Christique, vous manquerez de pas de percevoir que toutes vos hypothèses sont infondés.

Car contrairement aux Théologiens et aux Exégèse du XIX siècles qui marquent encore aujourd’hui de leurs empreintes de la dénaturation profonde du Christianisme.
 Peut de personne comprennent il y a une différence fondamental entre le Christianisme et la ce qui est devenue avec le Catholicisme Romain et ses rejetons qui est l’Orthodoxie et le Protestantisme.

2 Co 3, 4-11
Ps 98
Mt 5, 17-19

Ne pensez pas que je suis venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.

Tant que vous n’aurait pas la Volonté de faire la différence entre ce qui est de l’ordre d’une impulsion spirituel et la volonté des hommes, vous êtes toujours dans l’incapacité de comprendre la véritable signification de Noël, qui auxdémarage n’a jamais été établie au 25 Décembre mais bien au 6 Janvier qui est une Triples Fêtes Chrétienne.

Nativité La naissance de Jésus porteur du Christ
Épiphanie « manifestation du Christ dans le monde »
Théophanie - souvenir du baptême de Jésus-Christ dans les eaux du Jourdain

Et si vous ne voyez pas l’ordonnance du Monde dans le recul de la fête de la Nativité, vous n’avez dé lors aucune compréhension profonde de la signification des 12 Nuits Saintes .

LES DOUZE JOURS


Les douze jours - ou plutôt, comme on les désigne en Alsace, en Allemagne ou en Belgique, les « douze nuits » - s’insèrent, dans le calendrier chrétien, entre Noël et l’Épiphanie : entre le 25 décembre et le 6 janvier. Ils furent définis en 567 par le concile de Tours. Mais cette période, nichée au cœur de la nuit hivernale, alors que le monde est figé dans le froid et l’obscurité, n’est pas propre au christianisme : on en retrouve la trace aussi bien dans l’ancienne Mésopotamie qu’en Chine ou dans l’Inde védique. Ils pourraient représenter le hiatus entre le calendrier solaire, de 365 jours, et l’ancien calendrier lunaire, de 12 mois de 29 jours et demi chacun. Ils correspondraient alors au rattrapage nécessaire, à une période effectivement hors calendrier, entre deux temps, permettant, tous les ans, de retomber sur ses pieds : un passage à vide, une période de béance, un temps d’incertitude soumis à tous les dangers, un moment qui met en communication le mondes des vivants et celui des morts. Le réveillon, à minuit, n’est-il pas en certains pays un repas offert aux morts ?

Ces 12 jours échappent à la durée profane, 12 jours et 12 nuits en attendant que le temps reprenne son cours normal. Ce statut hors de l’année confère à cette période une nature divinatoire : l’an qui vient y est en germe - le kleine johr, la " petite année ", comme en dit en Alsace -, et il est possible, en examinant chacun d’eux, de prévoir ce que seront les 12 mois à venir, le temps qu’il allait faire à tel ou tel moment, ou le succès des diverses récoltes.. Mais il semble qu’il s’agissait originellement moins, dans ces 12 jours, d’annoncer l’avenir, que de « créer » l’année nouvelle, de la construire, de décider ce qu’elle serait : n’était-ce point le moment où l’on programmait les actions politiques ou militaires.

Cependant il n’est pas de création, de recréation, qui ne s’exerce à partir du chaos, du retour à l’unité indifférenciée. C’est sans doute ainsi qu’il faut considérer les charivaris et toutes ces fêtes des fous qui bouleversaient alors les conventions et l’ordre social et que l’Église a choisi de condamner au XVème siècle. Déjà, dans la Rome antique, les Saturnales prônaient, du 17 au 24 décembre, l’inversion : l’esclave se faisait servir par le maître, le roi s’inclinait devant l’enfant pauvre ...

Les fêtes des fous étaient autrefois coutumières et n’hésitaient pas à profaner le refuge spirituel des sanctuaires. Outre les fous, notre Moyen Âge fêtait successivement l’âne le 25 décembre (jour de Noël, où l’on honorait l’humble âne de la crèche), les sous-diacres et le petit clergé le 26 décembre (jour de la Saint-Étienne, historiquement le premier des diacres), et les enfants le 28 décembre (jour des Saint-Innocents). C’était à chaque fois l’occasion de bouleverser les préséances, de faire porter à l’animal des habits sacerdotaux, de donner raison au fou, d’introniser l’enfant, d’élire l’évêque ou le roi d’un jour qui, tel celui de la fève, régnait sans conteste. Et les plus fous furent peut-être les représentants de la Révolution qui cherchèrent à abolir ce qui persistait de ces pratiques sous le prétexte qu’il n’y avait plus de roi. Alors qu’il s’agissait pour les plus humbles, les plus démunis de passer au premier rang, et, au moins une fois l’an, et dans la plus grande licence et irrévérence, de prendre le pas sur les autorités légitimes ...

On élisait alors dans les églises cathédrales un évêque ou un archevêque des fous, et son élection était confirmée par toutes sortes de bouffonneries qui servaient de sacre. Cet évêque officiait pontificalement, et donnait la bénédiction au peuple, devant lequel il portait la mitre, la crosse, et même la croix archiépiscopale. Tout le clergé assistait à la messe, les uns en habit de femme, les autres vêtus en bouffons, ou masqués d’une façon grotesque et ridicule. Non contents de chanter dans le chœur des chansons licencieuses, ils mangeaient et jouaient aux dés sur l’autel, à côté du célébrant. Quand la messe était dite, ils couraient, sautaient, et dansaient dans l’église, chantant et proférant des paroles obscènes, et faisant mille postures indécentes jusqu’à se mettre presque nus ; ensuite ils se faisaient traîner par les rues dans des tombereaux pleins d’ordures, pour en jeter à la populace qui s’assemblait autour d’eux. Les plus libertins d’entre les séculiers se mêlaient parmi le clergé pour jouer aussi quelque personnage de fou en habit ecclésiastique …

 

 

 

 

 

Et la Faculté de Théologie de Paris, en 1444, pouvait justifier ces manifestations :

Nous ne fêtons par sérieusement, mais par pure plaisanterie, pour nous divertir selon la tradition, pour qu’au moins une fois par an nous nous abandonnions à la folie, à la folie qui est notre seconde nature et qui semble être innée en nous … Les tonneaux de vin éclateraient si on n’ouvrait pas de temps en temps la bonde pour les aérer. C’est pourquoi nous nous livrons à des bouffonneries pendant quelques jours pour pouvoir ensuite nous consacrer au service de Dieu avec une ferveur d’autant plus grande.

 

 

 

 

Certains ont pu voir là l’irruption des hommes-animaux, de la horde sauvage, telle qu’elle sévissait avant que ne soit instaurée la Loi, une façon de retourner à la barbarie des temps premiers. Et le temps de Noël était aussi un moment qui voyait la Chasse Hennequin se déchaînait dans le ciel. C’était une façon également de glorifier la spontanéité, l’innocence de ces êtres simples qui se situent avant le péché, ou avant l’âge de raison et qui ne se sont pas encore soucié d’évoluer et de composer avec les exigences de la société.

On peut noter une réplique de ces Douze Jours à l’opposé du calendrier, avec les six jours qui courent de la Saint-Jean d’été à la Saint-Pierre, où l’on pouvait présager le temps qu’il allait faire dans les six derniers mois de l’année.

Nous serait toujours à la superficie des choses et vous ne comprendrez jamais comment

 le Celtisme c’est fondue dans le Christianisme.

Vous resterez aux même niveau que ceux qui pense que le Christianisme est un syncrétisme Religieux et vous n’aurais un un once de soupçon que le Christianisme est un syncrétisme inversé.

Le Christianisme recèle encore beaucoup de Mystère, et ce n’est pas à la hache intellectuel que vous allez en découvrir ses secrets.

Ce que vous dites est d’une banalité affligent, montre en réalité toute votre conformisme de réflexion des plus banals !

D’ailleurs d’un bonimenteur que peut attendre d’autre ?



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