@ Ariane,

bravo pour cet article.

Je me suis, à plusieurs reprises, montré critique envers vos prises de position,
lorsque celles-ci étaient « clivantes » (gauche contre droite)
ou trop empreintes d’un substrat idéologique nuisible à une analyse objective (de ce qui se cachait derrière le mariage homo, par exemple).

Ici, je sais reconnaître le courage de votre prise de position
et l’universalisme du fond de votre message : la liberté de pensée et la liberté de parole
face à des censeurs exerçant un terrorisme intellectuel.

@Claude, Fergus et Shawford43,

votre débat est intéressant, posé, mesuré, adulte.
Exactement le type de débat que les grands médias interdisent
parce qu’il évoque le fond (à la fois sujet et objet),
alors que tous les chiens de garde se font forts de le soustraire du débat (le fond)
pour se focaliser uniquement sur la (les) personne(s) qui s’expriment sur le sujet, en les amalgamant avec « les heures sombres de l’histoire ».

C’est leur magistral tour de force = 15 jours de campagne de dénigrement de Dieudonné
sans avoir laissé place à un quelconque véritable débat sur le fond.

Quel est le fond du débat ?

Claude a écrit :
"On assiste tout simplement à un rejet de cette classe.
Elle pourrait être autre que juive, c’est ce qu’elle désigne qui est important, c’est la domination faite par une minorité.
(...) Le peuple juif a très certainement le droit de faire valoir ses souffrances, ses élites n’ont pas le droit de les exploiter pour son propre profit. « 

Fergus a écrit :
 »Le moteur de cette réactivation contemporaine est le rejet des conséquences d’un corporatisme juif très puissant et très bien organisé qui se traduit par une présence juive dans les médias et les cercles de décision nettement plus importante que le poids relatif de la communauté juive dans la population française.
Une réalité inacceptable pour beaucoup, et cela d’autant plus que l’on touche là aux vecteurs de la doxa dominante."

C’est ceci qui devrait faire débat si la République laissait un véritable espace de parole aux citoyens.
Sans haine, sans critique aveugle ou épidermique, sans laisser place à une quelconque forme d’antisémitisme primaire.
On voit bien que ce n’est pas le cas.