Commentaire de Hervé Hum
sur Sur les épaules d'Einstein, voir la physique quantique lever son voile sur un étrange monde
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prenant acte de la première… etc. acte premier en quelque sorte. Aux lecteurs de ce texte, je confie qu’une interprétation inédite de la physique est proche. Je ne sais pas quand ni combien seront de la partie. Je ne peux pas en dire plus, les recherches sont en cours.
Je me posais la question du sens de vos articles, voilà enfin la réponse !
Juste quelques remarques, pour mon plaisir personnel,
Lorsque vous écrivez " Excepté les sondes envoyées, le cosmos est observable uniquement par l’intermédiaire du champ électromagnétique. On peut dire qu’en règle générale, le cosmos ne nous informe pas. C’est l’observateur qui s’informe.«
Ici, l’observateur est surtout un récepteur, puisqu’il n’a aucun moyen de mesurer ni de maîtriser les termes de »l’expérience". Si maitriser n’est pas important, mesurer est essentiel, or, comme vous l’écrivez, on ne peut pas faire de mesure entre la source et la cible, puisque nous sommes la cible !
Selon Rovelli, il n’est pas possible de s’échapper hors du doublet observateur observé. La mécanique quantique est alors la théorie qui répond à cette découverte inédite : la description d’un système par différents observateur n’a rien d’universel. La notion d’observateur absolu comme celle d’« état quantique absolu » s’effondre.
Ah bon ! pourquoi la notion d’observateur absolu doit s’effondrer absolument ??? Pourquoi ne serait il pas « discret ».
Bon, vous ne l’écrivez pas, mais m’est avis que vous sous entendez par là que ce serait la « preuve » de l’inexistence de Dieu.
Cela dit, même s’il n’y aurait pas d’observateur absolu, m’est avis que reste toujours la notion de référentiel absolu et que celui ci est nécessairement 0. Tout autre référentiel non nul étant par définition relatif, par rapport premier au référentiel absolu qu’est 0. Bref, tous les référentiels non nuls, se retrouvent en perspective vis à vis du référentiel absolu 0.
Ensuite, je ne vois pas la problématique ontologique de la mécanique quantique. Que soit posé la question de l’origine, soit, mais la question ontologique ???
Si vous n’avez que des corps entiers, vous ne pouvez les lier entre eux, ni les associer. L’addition n’est pas une association, mais une juxtaposition de corps entiers ou nombres premiers en mathématique (j’insiste, en addition, tous les nombres entiers sont premiers, mais pas en division).
Pour qu’elle devienne une association (l’addition), il faut créer un ensemble, mais dès lors que je crée un ensemble, les éléments de l’ensemble perdent leur nature corpusculaire, ou entière relativement à l’ensemble et de fait, je ne me trouve plus face à une addition, mais à une division pour devenir fraction de cet ensemble (l’addition concernera alors les ensembles entre eux). Dès lors, c’est la mécanique ondulatoire qui s’applique (comme celle qui régit les nombres premiers diviseurs). Les éléments constitutifs de l’ensemble ne retrouveront leur qualité corpusculaire, entière, qu’en s’extrayant, se singularisant de l’ensemble d’où ils sont issu (ce qui ne change rien dans son principe que ce soit au niveau microscopique ou macroscopique.
Quant à la question de l’observateur, elle est subséquente des remarques précédentes. C’est à dire qu’à partir du référentiel géométrique absolu 0, tous les autres référentiels (relatifs à 0) sont en relation les uns avec les autres. Ils constituent des ensembles ou dimensions propres d’espace et d’énergie, en perspectives les uns vis à vis des autres où la mécanique ondulatoire s’applique à l’ensemble considéré, or, celle ci suit le même mode opératoire, quelle que soit la dimension considéré, jusqu’à revenir au référentiel absolu 0. Lequel étant par définition non quantique ou « in-quantique » il renvoi l’onde.
En d’autres termes, le référentiel absolu 0 renvoi l’onde de manière longitudinale, mais comme il n’est pas quantique, sa dynamique est infini. Tandis que le champs électromagnétique, formant ensemble, évolue de manière transversale, « freinant » en quantifiant l’espace absolu 0.
Ontologiquement, le référentiel absolu 0 n’existe qu’en faisant appel au référentiel absolu 1. Ce qui donne en absolu l’égalité de 0=1. Pour qu’il n’en soit pas ainsi, il faut relativiser 1 par rapport à 0, ce qui implique nécessairement de fractionner 1 en sous entiers, car tant que cela n’est pas fait, on reste sur l’égalité de 1=0. Mais en faisant cela, on introduit de fait la mécanique quantique avec la fonction d’onde. Ontologiquement, cette « création » ne trouve de sens qu’en considérant l’être en réflexion de lui même. Ou autrement dit la fameuse phrase de Shakespeare « être ou ne pas être » à partir de laquelle, l’être doit obligatoirement se mettre en perspective pour développer la conscience d’être. C’est à dire, se diviser et donc se fractionner en sous entité de sens.
Bon, comme toujours, c’est un jeu personnel, car c’est vrai que je suis un naïf, avec seulement des connaissances très sommaires en la matière qui me permet de rester sur l’idée et d’écrire ce qui me passe par ma tête. Si c’est incompréhensible, c’est pas grave, j’écris pour moi même !