Le premier lien :
« »En effet, les éléments de preuves découverts engendrent parfois des confusions (exemple, des croix gammées accompagnant des tags satanistes). » « Les personnes interpellées indiquent la plupart du temps avoir agi sans motivation idéologique, par jeu, défi, mimétisme ou désœuvrement » , estime le rapport, qui rappelle que huit profanations sont imputables
à des « individus isolés souffrant de troubles psychiatriques ». Si deux faits sont imputables à des
« adorateurs du démon », qualifiés de « minoritaires », les analystes du Bureau des affaires criminelles (BAC) notent que « sur la totalité des faits recensés en 2009, la commission
d’actes à caractère sataniste (croix brisées ou renversées) est supposée dans de nombreux cas ». Enfin, l
a présence d’alcool est un « facteur important de passage à l’acte particulièrement chez les adolescents et les jeunes adultes ».