« Par conséquent, ils sont identiques, qu’ils résultent d’une longue longue réflexion ou d’une pulsion. »
Je rejoins l’avis de César Castique : une histoire se déroule devant nos yeux. Des évènements ont lieu qu’on classe en bien ou en mal selon des principes qui sont propres a notre éducation
Nous n’avons aucune idée des conséquences de ces évènements :
quelque chose qui nous semble mal peut engendrer une situation qui sera bonne ou inversement

Par exemple, si l’on prend l’aspect biologique de la réalité : une population biologique (plante ou animal) croit jusqu’à un niveau ou elle devient une nuisance pour son écosystème, celui ci engendre une réponse qui va déclencher un « génocide » de cette population résultant dans un environnement a nouveau adapté a la croissance de la population biologique.
L’humanité ne fonctionne pas autrement : le bien et le mal ne sont que les 2 poles d’une meme chose comme le chaud et le froid, et ces 2 poles sont utilisés en fonction des circonstances pour faire évoluer, et maintenir le système de façon pérenne.
Au niveau individuel chacun joue un role dans le système, la prise de décision ou le role joué ne dépend pas, a mon sens, de notre bon vouloir, tout celà fait partie du fonctionnement interne de l’univers
On s’aperçoit de ce fonctionnement en faisant le vide dans le mental et en développant le sixième sens : on reçoit continuellement de l’information du système, sous de multiples formes, au niveau de la pensée, on ne peut le différencier de sa propre pensée (sauf que c’est toujours très clair et précis, et qu’ils connaissent des trucs sur nous qu’on ne soupçonne meme pas, sur le fonctionnement de notre mental, et ils peuvent eventuellement pointé vers les causes de telle ou telle caractéristique mentale)
Bref, d’après mon expérience, le système est totalement bordé et sous controle et tout est dejà défini, on va quelque part en tant qu’humanité (et au niveau individuel aussi), mais pour y aller l’Esprit fait changer les choses et nos esprits, au besoin en faisant des cassures nettes (comme par exemple des guerres mondiales au niveau global ou des crises dans la vie au niveau individuel)