De plus, il semble mal apprécié des lecteurs, ce qui est à mon avis aussi une marque de qualité. 

Les gens n’aiment pas qu’on ne pensent pas comme eux, et qu’on critique leur maître chien.

Hors, ce zemmour est un petit caniche qui donne de la voix derrière son grillage. 

Du reste c’est vrai, c’est la limite de mes propos, et toute sa force aussi : Je ne l’ai pas lu, je n’ai pas vu sa salle bobine. 

La vie est trop intéressante pour qu’on perde son temps à lire les misérables, hormis ceux de Victor Hugo évidemment. 

Mais on peut écrire de façon misérable et que ça rapporte gros. 

Bien sûr, les critiques peuvent se déchaîner sur ce putching ball. 

Il s’en fout de la raison, il attaque au niveau du ventre, donne des coups bas, fait l’étonné, le brave, le donneur de leçon, l’archange de la vérité.

La façon de ces gens foutre en pardessus de cuir qu’on voyait dans les années trente, roulant en traction Citroën. 

Que ce cabot se fit le redresseur de torts d’Hitler, euh non, de Pétain et de sa clique me suffit à me faire une image de lui.

Que des imbéciles applaudissent et en redemande me fout la nausée !