Lorsque la subvention est obtenue par le lobby musulman en France (via quand même les impôts français) alors on a droit en France à une soupe charitable appelée « tchorba » mais en théorie « ouverte à tous ».
Z’êtes trop bons les gars.
La soupe ancestrale et charitable auvergnate Obélix, qui tient si chaud au corps, est par contre interdite.
Lorsqu’il n’y a aucune subvention étatique, que l’argent provient de dons, un préfet envoie ses sbires attaquer une soupe offerte aux sdf, parce qu’elle contient du cochon.
C’est-y pas hypocrite et révoltant ?
Presque terrifiant.
Une personne voilée fait toujours du prosélytisme, en se signalant. On peut l’en louer ou non, c’est ainsi. L’obligation de pudeur faite aux femmes musulmanes s’en trouve annulée dans les pays de tradition chrétienne, où les femmes laissent au vent flotter leurs beaux cheveux pour le plaisir de tous : de fait, la femme voilée se met en avant, oblige l’homme à penser : que cache-t-elle de si intéressant ? Aurait-elle des cheveux de gorgone ? En quoi ses tifs particuliers devraient-ils m’inspirer des pensées pécheresses ?
J’ai peut-être autre chose à penser !
Le jour où cette impudique vient « aider » une organisation connue ( disposant de structures qui ont été difficiles à mettre en place et entretenir ), en signalant ses croyances ou sa volonté de s’insérer sans s’adapter par tel ou tel accoutrement, on peut avoir des doutes sur la motivation de la personne en question.
Charité ? Hum.
Comédie ? peut-être.
Il est donc non seulement normal, mais encore impératif que les restaus du coeur imposent décence et pudeur aux bénévoles, face au drame de la misère.