Commentaire de Fergus
sur Mozart et la musique de divertissement
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Bonsoir, Antoine.
Rien n’est plus subjectif que l’impression d’une personne face à une œuvre d’art, quel qu’en soit l’auteur. Du sublime en musique classique, j’en ai rencontré. Chez Vivaldi, chez Bach, chez Mozart, chez Beethoven, chez Schubert, chez Mendelssohn, chez Brahms, chez Verdi. Mais chez Mahler, jamais, et j’en suis sincèrement désolé.