Commentaire de Fergus
sur Mozart et la musique de divertissement
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@ Antoine.
La prédilection - et même la fascination - de Mozart pour la clarinette préexistait à ses grandes sérénades. Ses divertissements pour cors de basset de 1775 en sont une fort belle illustration. Pour s’en convaincre : le divertimento n°2 en si bémol (hélas avec trop de souffle et sur un rythme trop rapide !) dont il existe une superbe version enregistrée par le Quintette d’Avignon.