Commentaire de César Castique
sur Merci aux Grecs et à Syriza d'avoir démarré le printemps européen !
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« ...le peuple grec a dit non, non à cette troïka et ces dirigeants... »
Redescendez sur terre, le « peuple grec », en l’occurrence, c’est à peine plus d’1 votant sur 3 et, sous réserve de la participation, 1 inscrit sur 4 environ, ça ne met pas en position de force pour tenir tête à Juncker-Merkel-Draghi-Lagarde.
Et croyez bien que je le déplore, mais comme a dit Bossuet qui, manifestement, n’était pas de gauche :
Le plus grand dérèglement de l’esprit, c’est de croire les choses parce qu’on veut qu’elles soient, et non parce qu’on a vu qu’elles sont en effet.