Commentaire de Philippe VERGNES
sur Idiosyncrasie du pervers narcissique (partie 2/2) : définitions


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Philippe VERGNES 9 février 2015 12:35

Votre rhétorique paradoxale et perverse n’a aucune prise sur moi... il faut vraiment être un dément stupide pour ne pas s’en être rendu compte depuis plus de deux ans que vous alimentez un conflit entre vous et moi dont vous n’êtes que le seul et unique responsable :


JL 10 décembre 2012 11:43 : « [...] Si l’auteur veut parler ici des pervers narcissiques, et seulement de ça, il doit demander à Agoravox de supprimer cette image. Personnellement, ce genre de procédé (la couv de l’Obs et ceux qui la reproduisent) m’écœure. »

Image qui est (était) à vos yeux exactement de même nature que celle du prophètes Mahomet pour les musulmans et qui pose le problème de l’idéalisation dont on sait que le mécanisme de défense relève des psychoses (mais pas uniquement).

- «  Le dément ici c’est vous, qui recherchez dans nos échanges une reconnaissance de la part de celui que vous avez vous même érigé dans votre délire en dieu agoravoxien, je n’invente rien. »

Hé mec... faut vraiment que tu ailles consulter pour affirmer pareille ânerie sur mon besoin de reconnaissance auprès d’un mec qui se prend pour un Dieu agoravoxien.

- « La punition que vous m’infligez en retour de cette déception dont je suis à mon insu la cause consiste à me déchoir de ce piédestal sur lequel vous m’aviez mis... »

Là y’a plus aucun doute, vous êtes complètement « siphonné » de l’intérieur. Vide quoi... !

Et voilà un bel exemple de schéma « auto-victimaire » d’autant plus vrai que c’est VOUS qui venez constamment me solliciter comme le prouve une nouvelle fois votre première intervention sur ce fil (et de nombreux autres).

- « ... et vous le faites en retournant votre délire avec cette formule, je vous cite : ’’celui qui se prend pour dieu’’ phrase qui signifie évidemment : celui qui n’est pas dieu. »

Enfin vous comprenez le sens que je donne au mot « Dieu » lorsque je vous appelle ainsi. Ben dis donc... pas fufute pour deux sous le JL. Vous comprenez vite, mais faut vous expliquez longtemps... très, très, très longtemps.

Comme quoi, cela se confirme : nos interprétations en dise bien plus sur nous-même et sur notre propre part d’ombre que toutes autres formes de discours.

Vous devez être vraiment ravagé du ciboulot pour penser que je vous ai idéalisé après l’accueil que vous m’avez réservé ici même et qui n’a fait qu’empirer depuis, tant votre ignominie a touché un paroxysme que seule ma riposte (tardive s’il en fut) vous autorise maintenant à jouer les victimes.

Quand je dis que je vous plains, c’est encore un doux euphémisme. C’est triste d’en arriver à un tel état, mais d’un autre côté, cela ne relève que de votre propre responsabilité et la faire supporter à autrui, comme vous le faîte si bien dans tous vos échanges conflictuels avec vos opposants, relève bel et bien d’une perversion narcissique. Ce transfert de responsabilité en est même la définition de base. Pauvre de vous... smiley (Très sincèrement, car en arriver là est toujours un immense gâchis, ce qui ne signifie pas que l’on doive vous laisser faire et dire n’importe quoi) smiley

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