Commentaire de philouie
sur « Où est Charlie ? » : le retour du fascisme et du totalitarisme sous le masque de la perversion narcissique
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@JL
Par ailleurs, si un refus est bel et bien un déni, un échec ne l’est
pas. Or il convient de parler d’échec de la castration et non pas de
refus. De sorte que, c’est peut-être une question de degré d’illusion de
toute puissance - mais pas que(*) - qui met en échec la castration, mais c’est bien parce qu’il y a défaut de castration que s’élabore définitivement le déni (de l’autre).
Vous dites « définitivement ». Vous voulez dire que quand il y a échec de la castration, c’est cuit à tout jamais ?
Moi je vois la castration comme un processus qui s’accomplit au cours de la vie.
Mais bon, c’est possible qu’il y ait des pervers incurables.